Je vis à Genève, où les rues pavées du centre-ville et les vitrines des boutiques de luxe me donnent envie d’ajouter une touche de douceur à ma vie. C’est comme ça que je suis tombée sur Jellycat Suisse l’année dernière, quand j’ai acheté un lapin « Bashful Bunny » et une peluche « Amuseable Croissant » pour égayer mon appart. Depuis, je suis accro à leurs peluches, et j’ai remarqué comment Jellycat Genève se débrouille pour me faire craquer, que ce soit sur leur site, dans les magasins ou avec leurs promos saisonnières. Voici mon ressenti sur leurs façons de me séduire, et quelques trucs qui pourraient être améliorés.
Tout a commencé un soir d’automne, en scrollant sur mon téléphone. Je cherchais un cadeau pour l’anniversaire d’une amie et je suis tombée sur le site de Jellycat Suisse. La page d’accueil était un vrai régal pour les yeux : des peluches en forme de légumes, de pâtisseries et d’animaux tous plus mignons les uns que les autres. J’ai commandé le lapin (environ 30 CHF) et le croissant (25 CHF) en deux clics. La livraison a pris trois jours, et le colis est arrivé dans une boîte soignée avec un petit mot de remerciement. Ce qui m’a marquée, c’est leur newsletter : juste après mon achat, j’ai reçu un mail avec des suggestions de peluches pour Halloween, comme une chauve-souris avec des ailes scintillantes. J’ai trouvé ça malin, ça donnait envie de revenir sur le site.
En ligne, Jellycat Geneve sait y faire. Leurs posts Instagram sont adorables, avec des vidéos où les peluches prennent vie – mon croissant « danse » dans une boulangerie fictive, et ça m’a donné envie de l’acheter ! Ils partagent aussi des photos de clients suisses, comme une fille à Lausanne avec une peluche en forme de fondue. Ça rend la marque proche de nous, comme si elle faisait partie de notre quotidien. Pendant les fêtes, ils ont lancé une promo de Noël : 10 % de réduction sur les collections saisonnières, comme des rennes et des bonhommes de neige. J’ai failli craquer pour un sapin en peluche, mais les frais de port (6 CHF pour les commandes sous 50 CHF) m’ont un peu freinée. Ce serait cool s’ils offraient la livraison gratuite à partir d’un montant plus bas, surtout pour les petits achats impulsifs.
Côté boutiques, j’ai découvert les peluches de Jellycat Suisse chez Globus, en plein centre de Genève. Leur corner était impossible à rater : un mur entier de peluches, avec des pancartes rigolotes du style « Adoptez-moi ! ». Ils avaient même organisé un mini-événement pour Pâques, avec des peluches lapins exposées dans des paniers décorés et un atelier pour les enfants. J’ai trouvé ça super pour attirer les familles, mais aussi les adultes comme moi, qui fondent devant ces bouilles. J’ai appris qu’ils collaborent avec des boutiques locales, comme une librairie à Carouge qui vend leurs peluches à côté de livres pour enfants. Ce genre de partenariat donne un côté authentique à la marque, comme si elle s’intégrait vraiment à la vie genevoise. Leur marketing saisonnier est un gros point fort. À l’approche de la Fête de l’Escalade, ils ontsorti une peluche en édition limitée : une marmite en chocolat avec un petit sourire et des bras. J’ai vu ça sur leur Instagram et j’ai couru au magasin pour l’acheter (35 CHF, un peu cher, mais trop mignon). Ce clin d’œil à une tradition locale m’a vraiment touchée – c’est rare de voir une marque internationale faire ça. Pendant l’été, ils ont aussi mis en avant des peluches « lacustres », comme un cygne et une mouette, parfaites pour les vibes du lac Léman. Ces touches locales rendent leurs campagnes hyper attirantes, surtout quand on vit à Genève et qu’on aime se sentir connecté à sa ville.
Mais tout n’est pas parfait. En ligne, j’ai parfois trouvé leur site un peu lent à charger, surtout pendant les soldes de fin d’année. Une fois, j’ai voulu acheter une peluche en promo, mais elle était déjà en rupture de stock. Un système d’alerte pour les réapprovisionnements serait top. En magasin, les prix sont parfois plus élevés qu’en ligne, ce qui m’a surprise chez Globus. Et côté service client, j’ai envoyé un mail pour demander si une peluche était adaptée aux bébés, et la réponse a pris cinq jours. Pas dramatique, mais une option de chat en direct sur Jellycat Genève serait plus pratique.
Malgré ces petits bémols, je suis fan. Mon lapin trône sur mon lit, et le croissant fait rire tous mes amis quand ils viennent boire un verre. Les campagnes de Jellycat Suisse, entre leurs posts Instagram qui donnent envie de tout acheter et leurs collab’ avec des boutiques genevoises, m’ont complètement conquise. J’espère juste qu’ils ajouteront plus de promos hors saison et peut-être une boutique éphémère à Genève pour plonger encore plus dans leur univers. En attendant, je guette leur prochaine peluche inspirée de la Suisse – pourquoi pas un Saint-Bernard avec un tonneau autour du cou ?